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Se lancer comme micro-entrepreneur : comment faire ?

Choisir le statut juridique de son entreprise lors de sa création n’est pas un acte anodin. La forme juridique a des conséquences sur le statut du gérant et la gestion de l’entreprise.

Mais si vous lisez ces lignes, c’est que votre choix semble davantage s’orienter vers la micro-entreprise, ce qui est un très bon choix pour lancer son activité ou la tester. Rien ne vous empêche, par la suite, de choisir un autre statut si le développement de votre entreprise le nécessite.

En effet, ce régime présente de nombreux avantages pour un entrepreneur. Le plus important est sans doute la simplification extrême des démarches courantes, mais également celles inhérentes à la création de la micro-entreprise.

Comme vous allez voir, cette dernière se résume en une seule démarche.

Se lancer comme micro-entrepreneur : les informations importantes

Si de nombreuses personnes tentent l’aventure du freelancing sous le régime de la micro-entreprise, ce n’est pas sans raison. Ce statut est sans aucun doute le plus simple qui soit et le moins onéreux puisque toutes les démarches sont gratuites. Ainsi, le micro-entrepreneur bénéficie du régime micro-simplifié.

  1. Les démarches administratives à accomplir (création et domiciliation de l’entreprise, adjonction d’activité, radiation, etc.) sont simplifiées au maximum. Une simple déclaration suffit.
  2. La comptabilité de la micro-entreprise est allégée. Il n’y a pas de bilan comptable à fournir en fin d’exercice. Seule la tenue d’un livre des recettes et d’un registre des achats est nécessaire.
  3. Le micro-entrepreneur peut bénéficier de l’exonération de la TVA dans la limite d’un certain seuil de chiffre d’affaires. Aucune déclaration de TVA n’est donc à réaliser.
  4. Le calcul des charges est simplifié et à lieu automatiquement lors de la déclaration du chiffre d’affaires. Les charges sociales peuvent être payées directement à la fin de la procédure.
  5. La déclaration fiscale du micro-entrepreneur est également simplifiée. Il déclare simplement les bénéfices générés par son entreprise sur sa déclaration de revenus personnelle (en BIC ou BNC selon l’activité exercée).

Se lancer comme micro-entrepreneur : la création de l’entreprise en pratique

Tout ce qui précède démontre bien l’extrême facilité de gestion de la micro-entreprise. Sa création ne fait donc pas exception. 

À cela s’ajoutent les grandes nouveautés en matière de formalités des entreprises entrées en vigueur au 1er janvier 2023. En effet, la loi PACTE de 2019 a instauré la mise en œuvre progressive de mesures visant à pallier la complexité des démarches administratives pour les entrepreneurs. 

Désormais, les CFE (Centres des Formalités des Entreprises) sont remplacés par une seule et même plateforme : le Guichet unique des formalités des entreprises géré par l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle). De plus, le RNE, le Registre National des Entreprises, vient replacer le RM (Répertoire des Métiers) pour les artisans et le RCS (Registre du Commerce et des Sociétés) pour les autres activités.

En pratique, la création d’une micro-entreprise se résume toujours à la simple déclaration du début d’activité grâce au formulaire de demande d’immatriculation d’activité commerciale et/ou artisanale. Le seul changement est que celle-ci est à réaliser directement en ligne sur le site du Guichet unique et non plus sur le site du CFE compétent.

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Automatiser ses fichiers Excel avec Excel VBA

Quelle entreprise ou quel collaborateur n’utilise pas Excel aujourd’hui ? En effet, les fichiers Excel sont partout, même dans notre quotidien personnel (tenue des comptes bancaires par exemple). Chaque jour, de nombreux salariés créent ou modifient des fichiers Excel. Les managers et dirigeants le font également à des fins de collecte et d’analyse de données pour prendre leurs décisions ou pour créer des tableaux de bord.

Mais quiconque utilise cette solution Microsoft sait que la création de tableurs, leur mise en page et leur mise à jour ou encore la création de graphiques demandent du temps. Alors, imaginez lorsqu’il est question d’en créer plusieurs par jour. 

Excel VBA est un outil qui fera gagner du temps à toutes les organisations, car il permet d’automatiser des tâches répétitives sans réelle plus-value. On vous explique tout.

Qu’est-ce que Excel VBA ? 

Excel VBA n’est rien d’autre que le classique Excel, excepté qu’il intègre un langage informatique : le VBA, Visual Basic application. Cette application fonctionne avec le langage Visual Basic, un grand classique chez de nombreux développeurs. On le retrouve d’ailleurs dans presque toutes les applications Office. 

Le Visual Basic application permet donc d’automatiser les tâches en Excel sans même avoir besoin de compétences ou connaissances en programmation. Ainsi, tout le monde peut l’utiliser grâce à l’enregistreur macro. 

Qu’est-ce que l’enregistreur macro ?

Une macro sur Excel correspond à une action ou un ensemble d’actions que l’on peut exécuter autant de fois que l’on souhaite. Cela est rendu possible par le VBA. En réalité, cette fonction est disponible depuis Excel 95, mais peu de gens la connaissent et savent l’utiliser. C’est pourtant l’outil qui permet d’automatiser une tâche ou opération répétitive avec Excel. 

Pour cela, il suffit d’enregistrer une macro grâce à l’enregistreur en appliquant le format souhaité, puis d’exécuter la macro chaque fois que c’est nécessaire. Un simple clic permet alors de réaliser une suite d’actions en quelques secondes.

Le rôle de l’enregistreur macro est donc de mémoriser chacune des actions ou opérations et de les transcrire en code informatique exécutable, le VBA. Il faut donc bien définir les tâches et les exécuter sans erreur durant l’enregistrement. Chaque étape sera ensuite reprise lors de l’exécution de la macro (y compris les clics aléatoires). 

À quoi sert Excel VBA en pratique ?

En pratique, il est possible d’automatiser de nombreuses actions, comme : 

  • la suppression de certains caractères ou l’ajout de texte ;
  • l’application des commandes présentes dans le ruban (addition, moyenne, etc.) ;
  • la mise en forme automatique des cellules, lignes ou colonnes (par exemple, changer la taille de police, mettre le titre en gras et centré, modifier la largeur de la colonne, etc.) ;
  • l’importation de données ;
  • la création d’un graphique ou d’un tableau 

Autrement dit des actions que l’on réalise plusieurs fois par jour en entreprise. Les avantages d’une telle solution sont pluriels : 

  • suppression du risque d’erreurs liées à la manipulation de données dans Excel ;
  • gain de temps au quotidien ;
  • sécurisation des process ; 
  • continuité des processus en l’absence d’un collaborateur 

Excel VBA est donc un outil accessible à tous. Toutefois, une formation à l’outil Excel VBA peut être à prévoir pour exploiter son potentiel au maximum.

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Les démarches de transfert de siège social

Il n’est pas rare, durant la vie d’une entreprise, que celle-ci soit amenée à déménager. Cela est notamment le cas lorsque la société a besoin de locaux plus grands pour poursuivre son évolution ou en cas de déménagement personnel du gérant. 

En effet, il est fréquent de domicilier son entreprise à son adresse personnelle, notamment dans les cas des sociétés à associé unique, comme la SASU ou l’EURL, par exemple quand on a une boutique en ligne

Qu’importe les raisons qui poussent à déménager son entreprise, cela implique de procéder aux démarches de transfert du siège social. S’il est possible de changer d’adresse de domiciliation d’entreprise directement en ligne, cela implique quelques formalités complémentaires dans la mesure où cette adresse figure dans les statuts juridiques de l’entreprise. 

Voici tout ce qu’il faut savoir pour réaliser les démarches de transfert de siège social d’une entreprise.

Décider du transfert de siège social de l’entreprise

Il nous semble nécessaire de faire un point sur les formalités liées à la décision de déménager l’entreprise. Il faut en effet savoir que le dirigeant n’est pas toujours le seul à pouvoir décider. 

Si son champ d’action est libre lorsque la société ne comporte pas d’associés, ce n’est pas le cas en leur présence. En effet, le gérant ne peut pas décider seul du déménagement de l’entreprise, et ce même si elle est domiciliée à son adresse personnelle. Il doit obtenir l’accord des associés ou actionnaires réunis en assemblée générale. La décision de transfert du siège social doit être actée dans un procès-verbal signé par l’ensemble des présents.

Toutefois, selon la forme juridique de l’entreprise, le gérant peut se passer du vote des associés lorsqu’il n’y a pas de changement de département.

Modifier les statuts d’entreprise liée au transfert de siège social

Lorsque la décision de transférer le siège social est actée, le gérant doit mettre à jour les statuts juridiques de l’entreprise. En effet, ce document légal comporte une mention relative à l’adresse de domiciliation. Il faut donc indiquer la nouvelle adresse et les clauses définies en cas de domiciliation dans une société domiciliaire.

Les statuts mis à jour doivent être datés, signés par tous les associés (ou l’associé unique) et être certifiés conformes à l’original.

Publier une annonce légale de transfert de siège social

Le gérant doit également rédiger et publier une annonce légale de modification d’une personne morale pour transfert de siège social. L’avis doit être publié dans un journal d’annonces légales habilité ou support de presse en ligne agréé. 

Le délai est d’un mois à compter de la date de l’assemblée générale.

Attention, lorsque le transfert de siège social a lieu dans un autre département et qu’il mène à changer de tribunal de commerce compétent, il faut alors publier deux annonces : une dans un support de presse du lieu de départ et l’autre dans le département du nouveau siège social.

Déposer une demande de transfert du siège social de l’entreprise 

Lorsque toutes les formalités précédentes ont été réalisées, le gérant doit transmettre un dossier de demande de transfert de siège social (Cerfa de modification d’une personne morale) au Guichet unique (remplaçant les CFE, Centres des Formalités des Entreprises, depuis le 1er janvier 2023). Il doit joindre une copie des statuts mis à jour, l’attestation de parution de l’annonce légale et un justificatif de jouissance des nouveaux locaux.

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Sur quels critères choisir un SIRH ?

La mise en place d’une solution SIRH est devenue une nécessité pour la plupart des entreprises. Toutefois, le choix du logiciel utilisé pour un tel système peut parfois causer des problèmes lorsqu’il n’est pas adapté à l’activité et aux besoins de l’entreprise. Dans ce cas de figure, il peut être utile de changer d’outil et de se tourner vers une alternative.

Vous êtes sur le point de choisir un logiciel SIRH, mais vous ne savez pas vers quelle solution vous tourner parmi toutes les possibilités du marché ? Faisons un point rapide sur les critères à prendre en compte pour choisir un bon outil SIRH.

Des fonctionnalités appropriées à l’entreprise

Bien entendu, le premier critère à prendre en compte concerne les fonctionnalités du logiciel, qui doivent correspondre aux besoins de l’entreprise et à ses perspectives de développement.

Pour qu’une entreprise bénéficie réellement des effets d’un logiciel SIRH, celui-ci doit lui permettre :

  • de gagner du temps dans le traitement des tâches chronophages ;
  • d’amorcer le futur changement sans perturber le travail des différentes équipes ;
  • d’assurer la gestion des problématiques quotidiennes des collaborateurs ;

Dans tous les cas, pour connaître les fonctionnalités qu’il faut à l’entreprise, cette dernière doit impérativement réaliser un audit de ses besoins et du budget qu’elle peut allouer avant de choisir une nouvelle solution SIRH. 

Une prise en main facile et rapide

Le but d’un logiciel SIRH est de faire gagner du temps à l’entreprise et à ses collaborateurs. Par conséquent, pour éviter de mettre des mois à former les membres du personnel sur le nouvel outil, ou tout simplement pour faciliter l’arrivée de nouveaux salariés, il est primordial que le logiciel soit facile à prendre en main. Plus il est simple d’utilisation, plus ses avantages se font sentir.

À noter que certains logiciels proposent une intelligence artificielle pour aider les utilisateurs à se guider dans l’interface.

Une compatibilité avec les outils déjà en place

En règle générale, une entreprise utilise déjà des outils ou des logiciels dans le cadre de son activité ou de ses ressources humaines. Peut-être même que certains d’entre eux doivent être conservés pour des raisons inhérentes à l’activité. Si tel est le cas, et afin d’éviter des problématiques techniques importantes, il convient de s’orienter vers un logiciel SIRH compatible, qui s’accommode parfaitement des outils existants. De plus, cela évite à l’entreprise de devoir ressaisir toutes les données concernées, à commencer par la base de données des salariés.

Une maintenance et des mises à jour régulières

Un bon logiciel est forcément amené à connaître de multiples mises à jour. En effet, c’est l’unique moyen pour l’éditeur de rendre son outil toujours plus performant. Par conséquent, l’entreprise doit veiller à choisir une solution régulièrement mise à jour, d’autant plus qu’il existe de nombreux logiciels (souvent gratuits ou peu chers) plus ou moins abandonnés par leurs éditeurs.

Cette question est d’autant plus importante lorsque le logiciel est destiné à assurer l’édition des fiches de paie, pour lesquelles la réglementation évolue régulièrement.

Un respect de la sécurité des données

Cela va de soi, un logiciel SIRH contient un certain nombre de données et d’informations sensibles, qui peuvent concerner les salariés et collaborateurs de l’entreprise, mais aussi les clients et fournisseurs de celle-ci. Par conséquent, l’éditeur de l’outil doit garantir le strict respect de la RGPD, à savoir la réglementation générale sur la protection des données. Cela passe entre autres par des serveurs sécurisés, dont la fiabilité est assurée.

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Ouvrir une entreprise de vente de produits Warhammer : ce qu’il faut savoir

Les amoureux de Warhammer n’ignorent rien de cette franchise de jeux, de magazines et de romans datant des années 1980. Créé par la société Games Workshop, cet univers imaginaire de fantasy et de dark fantasy rencontre un vif succès chez les gamers !

Il est donc légitime de vouloir ouvrir une entreprise spécialisée dans la vente de jeux et accessoires Warhammer. En plus de vivre d’une passion, c’est l’occasion de transmettre son savoir. 

Mais comme toute création d’entreprise, certaines questions sont à se poser pour élaborer un projet viable, comme : l’ouverture d’un e-commerce ou d’un magasin physique ? Quelle superficie de boutique ? Quels moyens humains ? Etc. Typiquement le type d’informations disponibles sur courants-affaires.fr.

Mais intéressons-nous ici plus particulièrement aux aspects pratiques liés à un tel projet, à savoir : les démarches administratives pour ouvrir une entreprise de Warhammer, sous-entendu, la phase de création de l’entreprise. Nous n’abordons pas encore la partie plus logistique de constitution des stocks.

Création d’une entreprise de Warhammer : les solutions possibles

En fonction du projet et de la stratégie menée (vente en ligne, besoin de locaux, etc.), il faut tout d’abord choisir le statut juridique qui sera le plus adapté : entreprise individuelle, régime de la micro-entreprise ou société commerciale.

Pour cela, il convient de bien se renseigner sur les avantages et inconvénients de chacun des statuts (statut social du gérant, plafond de chiffre d’affaires, régime d’imposition, rémunération du gérant, lourdeur des démarches ou gestion simplifiée, etc.).

Enfin, parmi les solutions possibles auxquelles l’on ne pense pas toujours, se pose la question de savoir si l’on souhaite ouvrir un magasin indépendant ou une franchise. 

En effet, passer par un réseau de franchise, par exemple Geekstore ou Gamecash permet de sécuriser l’investissement d’une boutique physique. Les réseaux prennent, certes, des droits d’entrée, mais ils permettent de gagner un temps précieux, car ils mettent à disposition un business modèle à dupliquer : fournisseurs, merchandising, méthodes de vente, etc.

Création d’une entreprise de Warhammer : les démarches de création d’entreprise

Concernant les démarches de création d’entreprise, c’est la micro-entreprise qui remporte la palme de la simplicité. Une simple déclaration en ligne de début d’activité suffit. Toutefois, comme nous le mentionnons, ce n’est pas forcément la solution la plus appropriée (limite de chiffre d’affaires, non-déduction des charges, etc.). 

L’entreprise individuelle étant la forme classique et non soumise au régime simplifié de la micro-entreprise, les démarches de création sont les mêmes. Elle bénéficie également d’une gestion simplifiée. 

Néanmoins, même si les sociétés commerciales imposent plus de contraintes, elles sont également les formes juridiques qui offrent davantage de possibilités de gestion. 

Pour créer une entreprise de Warhammer en société commerciale, qu’importe le statut (SASU, EURL, SAS, SARL), il faut dans un premier temps rédiger les statuts de l’entreprise qui permettent d’en définir le fonctionnement. Ensuite, il faut publier une annonce légale de création d’entreprise dans un journal d’annonces légales ou un support de presse en ligne. Attention, certaines mentions légales (comme pour les statuts juridiques) sont obligatoires. 

Enfin, ultime étape, le créateur d’entreprise doit ensuite procéder à une demande d’immatriculation au RCS, le Registre du Commerce et des Sociétés. À l’issue des démarches, il reçoit un extrait K-bis l’autorisant à exercer son activité de vente.

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Comment devenir directeur ou directrice marketing ?

Le directeur marketing est un poste qui rémunère bien de nos jours. Pour pouvoir occuper ce poste, il faut avoir certaines compétences et il faut posséder un diplôme. Mais alors, quelles sont les principales fonctions d’un directeur marketing dans les entreprises ? Quels sont les qualités et diplômes requis pour prendre cette fonction ?

Les principales fonctions d’un directeur marketing

Un directeur marketing organise et contrôle le politique marketing d’une entreprise. Il analyse le marché, élabore le plan d’action, détermine les cibles et choisi des axes publicitaires. Il doit mener cette stratégie marketing en convenance avec la société et son développement. Pour cela, il doit tenir compte de différents facteurs comme la tendance du produit et du marché, le budget alloué pour chaque projet, les ratios investissements/bénéfices, etc.
Dans la réalisation de sa mission, un directeur marketing dirige alors une équipe. De ce fait, il doit savoir manager et motiver un groupe de personnes. Il doit aussi avoir une bonne connaissance du marché dans lequel l’entreprise exerce afin de pouvoir anticiper les changements.

Les qualités nécessaires pour être directeur marketing

Pour mener à bien sa mission, un directeur marketing doit toujours connaître l’évolution des marchés, surtout dans le secteur de l’entreprise où il travaille. Donc, il doit être très curieux, avoir un sens du relationnel et un sens commercial.
Par ailleurs, il doit savoir convaincre et négocier pour réaliser des ventes. Un directeur marketing doit également avoir son propre réseau de collaborateurs pour faciliter l’accomplissement de son travail. Il doit en plus être créatif pour être capable, à tout moment, de donner des idées novatrices. Puis, un directeur marketing doit aussi avoir une bonne connaissance en marchandisage comme les études de produits, les stratégies de campagnes publicitaires, le marketing opérationnel, le marketing stratégique (voir franceregie.com), etc.

Les diplômes indispensables pour devenir directeur marketing

Pour exercer le métier de directeur ou directrice marketing, il faut posséder un diplôme de Bac + 5 minimum. Vous pouvez par exemple avoir le diplôme de Master webmarketing et e-commerce, Master marketing stratégique, Master marketing et relation client, Master marketing international, Master communication et marketing ou Master marketing et gestion commerciale. Le diplôme de MSC international management event, Master spécialisé médias, art et création, Bachelor marketing client et gestion commerciale ou MSC internantional business permettent aussi de prendre la fonction de directeur marketing. D’autres diplômes comme le Bachelor global marketing, le Master spécialisé en marketing management et digital, le MBA management digital et le MSC Big Data and business analytics sont également éligibles à ce métier.
En général, vous pouvez obtenir ces diplômes en suivant une formation dans une Ecole Supérieure de commerce ou une Ecole d’Ingénieur. À noter que le salaire d’un directeur marketing dépend de plusieurs facteurs, à savoir le type d’entreprise dans laquelle il travaille, la région où se situe l’entreprise, ses années d’expérience, le chiffre d’affaires de l’entreprise… Un directeur marketing qui débute gagne environ 5 000 € bruts par mois. Avec des années d’expérience, le directeur ou la directrice marketing peut gagner jusqu’à 10 000 € bruts par mois.

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Quelle pourrait être l’entreprise de demain ?

Le quotidien des entreprises a bien entendu été bouleversé avec l’émergence d’internet et des outils de la technologie numérique. Mais qu’en sera-t-il dans un futur proche ? En effet, beaucoup ont une vision de l’avenir sensiblement différente depuis la crise sanitaire du COVID. Démocratisation du télétravail pour les salariés, management de plus en plus orienté sur le bien-être des collaborateurs, environnement de travail adapté aux contraintes de chacun, le monde de l’entreprise connaît quelques bouleversements majeurs. La question est toutefois de savoir si ce développement va se confirmer dans les prochaines années et si une transformation profonde de notre mode de travail est sur le point de s’enclencher. Zoom sur l’entreprise de demain.

Le télétravail, un nouveau mode de travail largement plébiscité

Le principal développement que l’on peut attendre des entreprises dans le futur concerne sans aucun doute le télétravail. Longtemps boudé par les dirigeants français, ce mode de travail n’a pourtant pas attendu la crise sanitaire pour se démocratiser dans de nombreux pays d’Europe et du monde. Toutefois, la France n’a pu s’y résoudre que suite aux différents confinements imposés par le COVID.

Deux ans plus tard, le télétravail a véritablement bouleversé les habitudes des entreprises. Pour la plupart, ces dernières ont découvert qu’il était tout à fait possible de gérer des salariés à distance, au point, pour certaines, de l’avoir adopté d’une manière plus définitive.

Il faut dire que pour les salariés d’une entreprise, le télétravail offre un choix de vie bien plus confortable que les obligations habituelles du travail en présentiel. De plus, celui-ci ne se pratique pas obligatoirement à domicile, contrairement aux idées reçues, puisqu’il est également possible de travailler dans un café, en déplacement ou même dans des espaces de coworking.

La transition énergétique et écologique au service du télétravail

Il y a fort à parier que l’entreprise de demain s’organisera principalement autour du télétravail, et ce, pour une raison principale : la transition énergétique et écologique.

En effet, parmi les nombreux avantages du télétravail que l’on ne cite plus pour les salariés (moins de distractions, moins de pauses et une productivité globalement plus importante), les répercussions de ce mode de travail sur l’environnement sont sans doute celles qui feront pencher la balance en sa faveur à plus ou moins long terme. Il s’agit notamment :

  • de la diminution du temps de transport ;
  • de la suppression des locaux de l’entreprise, ou du moins, diminution de la taille des locaux ;
  • de la réduction significative de la consommation d’énergie des entreprises ;
  • de la diminution du nombre de voitures en circulation dans les villes ;
  • etc.

Le télétravail pour toutes les entreprises : un monde utopique ?

Pour beaucoup, il est utopique de penser que le monde fonctionnerait si toutes les entreprises qui le pouvaient (du point de vue de leur activité) passaient en télétravail. Or, grâce à de nombreux modèles précurseurs, il est prouvé que c’est une possibilité plus qu’envisageable.

Automatic, Elastic ou encore O’Clock pour la France fonctionnent intégralement et à 100 % sur le principe du télétravail. Dorénavant, ces sociétés portent même un nom : ce sont les entreprises distribuées.

Bien sûr, la mise en place du télétravail pour tout le monde exige une organisation minutieuse de la part des employeurs et du management desdites entreprises. Mais grâce aux outils du numérique, il s’agit aujourd’hui d’une possibilité concrète et parfaitement crédible.

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Des fleurs pour les condoléances

En cas de deuil, les fleurs ont une place importante. Les fautes de goût en la matière ne sont pas permises, vous devez donc faire attention au choix des fleurs. A ce propos, quelles sont les fleurs de circonstances, celles qui vont transmettre le bon message aux endeuillés ?

Choisissez des fleurs adaptées

Lorsqu’il s’agit du décès d’un proche ou d’un membre de la famille d’un ami ou d’un collègue, le choix des fleurs est crucial. Plus qu’à n’importe quel événement, prenez le temps de bien réfléchir aux fleurs à présenter. Elles font partie intégrante de l’environnement et de l’atmosphère de recueillement et d’hommage. Vous devez absolument adresser le  » bon  » message à la famille.

Évitez à tout prix de commettre un impair. Mais c’est souvent là que les choses se corsent si vous ne vous y connaissez pas en fleurs de deuil. Que prendre en compte dans votre choix ? D’abord la personnalité du défunt et peut-être ses goûts, si vous le connaissez personnellement. Puis, il y a aussi les circonstances du décès et enfin ses croyances ou celles de sa famille.

Voici donc quelques informations qui vous aideront à commander les fleurs les plus adaptées. D’abord, si vous avez des liens particuliers avec le défunt, optez pour des œillets, des orchidées et des lys. C’est une composition appropriée à condition qu’il y ait réellement une grande proximité entre vous et le défunt.

Si vous étiez les meilleurs amis du monde, vous pouvez vous permettre de choisir les fleurs préférées du disparu. Tant pis si c’est un peu décalé par rapport aux circonstances, votre complicité vous donne ce droit. Puis, si vous étiez de simples amis, si c’était un collègue ou le parent d’un élève proche de votre enfant, une composition commune suffit. Autrement dit, il est indiqué de choisir certains coussins ou une couronne mortuaire.

Des critères à considérer pour choisir des fleurs de deuil

Pour les condoléances, vous devez choisir avec soin les fleurs à présenter à la famille endeuillée. Tenez compte de l’âge du défunt. Par exemple, si c’est un enfant qui est décédé, votre choix doit être particulièrement pertinent. Le savoir-vivre exige que l’on souligne l’innocence et la pureté de l’enfant.

Cela se traduit par des fleurs blanches comme c’est le cas des lys. Faites attention à ne pas mélanger d’autres fleurs de couleur vive, par exemple des roses rouges, dans le bouquet. Par contre, s’il s’agit d’une personne âgée, optez pour des fleurs de couleur claire. C’est un signe de respect envers son grand âge et sa vie riche et bien remplie.

Les fleurs que vous présentez vont probablement être emmenées à l’église. Parfois, avec les autres compositions florales, elles sont emmenées au cimetière. Pour la cérémonie funéraire avant l’enterrement proprement dit, elles sont disposées sur le lieu d’inhumation. Ce sont souvent les fleurs et les gerbes offertes par les amis et les proches qui fleurissent la tombe. Autant dire que le choix de vos fleurs compte énormément. Si vous n’êtes pas sûr/e de vous, votre fleuriste vous donnera des conseils avisés pour les fleurs des obsèques.

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Le football, roi du sport en Europe

En Europe comme partout dans le Monde, le sport amateur reste un des principaux loisirs des européens. Dans chacun des pays européens les enfants sont très attirés par le football. Les petits français sont encore influencés et motivés par les champions du Monde, vainqueurs de la finale de 2018 (Mbappe, Lloris, Giroux, Pogba, etc.) mais aussi par les performances de ces sportifs dans leur club. En Espagne, c’est la présence de « Zizou » dans la ligua en tant qu’entraîneur du Real Madrid et en Italie la venue de Zlatan Ibrahimovic qui incitent les enfants devenir footballeurs. 

La valeur d’un club de foot en Europe

Au 21e siècle, le football est devenu une véritable institution qui brasse des millions d’euros chaque année ; le mercato étant l’exemple le plus parlant. Les joueurs et leur club sont évalués, et alors que l’effectif total du Paris St Germain (PSG) vaut environ 975 millions d’euros, MBappe est « estimé » à environ le quart.

Un classement positionne le club anglais de Liverpool comme le premier club par valeur avec environ 1,4 milliards d’euros puis viennent trois clubs anglais, Manchester United, Manchester City et Chelsea, suivi des plus gros clubs espagnols que sont le Real Madrid et le Barça avec près d’un milliard d’euros.

La compétition européenne entre les clubs de foot

En foot, la compétition entre les clubs est rude. Ainsi, des championnats de chaque pays : Ligue 1 en France, Premier League en Angleterre, Ligua en Espagne, etc., jusqu’aux rencontres européennes : Ligue des Champions et la Ligue des champions féminine, l’Euro, etc. chaque match est un challenge.

Les retransmissions médiatiques rendent chaque match accessible, tant sur les chaînes privées (Canal Plus, Bein Sport) que sur les chaînes publiques (M6 et TF1), assurant le relais avec les nombreux amateurs. 

Le football en Europe et les autres sports collectifs

Le football n’est pas le seul sport collectif plébiscité par les européens. Ainsi le handball, le rugby et le basket ball (principalement) se positionnent dans les grandes compétitions mondiales sans trop de difficultés, suivis et supportés par de nombreux européens. 

Par rapport à un club de foot professionnel, ces clubs ont des capacités financières bien inférieures même si on retrouve le club français du PSG handball, racheté par le Quatar en 2012 et dont le budget tourne aujourd’hui autour de 18 millions d’euros. En comparaison, l’équipe et le club de Kiel en Allemagne dispose d’un budget moitié moindre que le PSG handball (environ).

Les clubs sont moins « riches » et les sports moins populaires même si l’engouement pour le handball et le rugby a tendance à augmenter devant la réussite des équipes nationales dans les grandes compétitions européennes et internationales et, comme pour le foot, grâce aux médias payants (Canal Plus et Bein Sport) ou gratuits (TF1 et M6 et France2).

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Sortie à la plage avec des enfants, tout ce qu’il faut prévoir

Emmener les enfants à la plage l’été est une bonne idée pour rafraîchir toute la famille ou plus simplement passer un bon moment. Baignade, château de sable, jeux sur la plage, farniente, ce ne sont pas les activités qui manquent. Et pourquoi ne pas les initier aux sports nautiques, comme le surf ou le kitesurf, ou encore partir à la découverte des fonds marins grâce au snorkeling ?

Toujours est-il qu’une sortie à la plage avec des enfants implique pour les parents de penser à prendre tout le nécessaire. Un minimum d’organisation est donc indispensable.

Pour ne rien oublier pour cette sortie familiale, nous vous avons réalisé une check-list des choses indispensables.

Les accessoires indispensables pour se protéger du soleil

Tout le monde n’a pas la même tolérance aux rayons du soleil et les enfants y sont particulièrement sensibles, car ils ont une peau plus fine. Aussi, certains accessoires sont indispensables dans la panoplie des affaires de plage. 

En premier lieu, il faut prévoir un parasol ou une tente anti-UV afin d’abriter les enfants. Alors que le parasol peut être profitable à toute la famille, la tente anti-UV (indice 50+) est une excellente protection pour la sieste de bébé. Il existe des modèles « pop-up » très pratiques, car ils se déplient très facilement.

Parmi les indispensables, il faut également penser à emporter :

  • des lunettes de soleil conformes à la norme CE et avec un indice de protection 3 minimum ;

un chapeau ou une casquette ;

  • une crème solaire indice 50+ à appliquer avant l’arrivée à la plage puis régulièrement ensuite ;
  • des vêtements anti-UV pour protéger les enfants des rayons du soleil ou, à défaut, des vêtements légers suffisamment couvrants.

Bien sûr, il faut penser à prendre de quoi hydrater toute la famille, principalement de l’eau. Stocker le tout dans une glacière permettra de conserver les boissons au frais. Enfin, il faut penser à emporter le goûter des enfants ou le pique-nique pour le midi ou le soir.

Les accessoires indispensables pour la plage

Certains accessoires sont des grands classiques pour une sortie à la plage. C’est notamment le cas de la serviette de bain pour s’allonger sur le sable ou sécher les enfants après la baignade et du maillot de bain. Ce dernier est à choisir en fonction de l’âge des enfants, comme le maillot de bain couche, le maillot-bouée ou encore la culotte ou le slip de bain. 

Pour des raisons de sécurité, il faut également penser aux brassards, que ce soit pour les baignades ou les sessions de jeux en bord de plage, un accident est malheureusement trop vite arrivé. 

Enfin, il faut penser à emmener de quoi occuper les enfants. Outre les classiques pelle, moules et seau pour faire d’incroyables châteaux de sable ou autres constructions, il faut également emmener des jouets afin de varier les plaisirs. Toutefois, le mieux est de choisir des jouets adaptés à la plage (notamment faciles à nettoyer sous l’eau) et d’éviter ceux dotés de petites pièces faciles à perdre dans le sable. Ballon, livres, camions en plastique, quilles, etc. sont quelques exemples.